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l'équipe

Notre éauipe est multidisciplinaire. Elle composée de professionnels qui ont chacun entre 20 et 35 ans d'expérience dans leur domaine d'expertise. 

Un an plus tard, que devient Daniele Oppizzi, « suspecté » par le journal La Presse, sous la plume de Marie-Eve Fournier le 27 et 28 juin 2023, de fraude et d’usurpations multiples… ?

 

Les articles :

Le CV magnifié de Daniele Oppizzi

Leur rêve de maison écoénergétique vire au cauchemar

Mon histoire :

Le temps a pris le chemin de la routine, mais le tort que m'a infligé une journaliste qui semble vouloir régler des comptes avec une certaine actualité est encore présent et la plaie est durable, car contrairement aux années 1980, en 2024, les informations laissées sur Internet ne peuvnet plus disparaître, même si elles sont erronées !  

Victime ou non, on peut toujours en discuter, mais les méthodes et l’éthique journalistiques actuelles posent de sérieuses questions quant aux nuisances qui peuvent être causées. Sachant que dans l’affaire qui me concerne, deux facteurs doivent être pris en considération, car la journaliste à agit comme pour la mise en place d'une stratégie militaire…

Le premier facteur propose que pour s’attaquer à un gros poisson, il faut d’abord affaiblir en premier à un petit poisson. L’attaque sur ce dernier doit pouvoir porter si possible une atteinte symbolique au gros poisson. Le deuxième facteur, consiste à s’en prendre au petit poisson de manière à ce qu'il soit suffisamment petit pour que celui-ci n’ait n’a pas les moyens de se défendre, car comme tout le monde le sait en période de guerre, se défendre coûte très cher…

A propos des articles de La Presse, j’ai laissé couler beaucoup de temps avant d’écrire quelque chose d’y relatif, le choc a été brutal pour moi au moment de les lire. Je ne peux pas dire aujourd’hui que je suis guéri de leurs effets pervers, mais j’ai au moins j’ai du soutien moral et le recul nécessaire aujourd'hui pour écrire ces quelques mots afin que d’autres qui se trouvent ou se trouveront dans la même situation que moi, peuvent un jour, malgré tout, se lever et ne pas avoir à subir le regard soupçonneux de son voisin et ceci comme seul « réconfort » du doute d’avoir été le pire ennemi de la république...

Comme dans de trop nombreux cas, le travail journalistique qui m’a touché a été certainement bâclé et surtout très mal étayé en matière de preuves réelles. C’est pour cette raison que de mon côté, je publie les éléments ci-dessous, en soulignant les éléments de preuve qu’il est possible de télécharger afin d’assurer que mes propos sont justes et fondés.

 

Malgré que dans les différents échanges écrits avec La Presse qui ont suivis les articles, j’ai à chaque fois demandé les éléments de preuves qui leurs permettaient d'étayer leurs propos, je n'ai à ce jour, soit une année jour pour jour après la parution des articles, jamais reçu une seule preuve de leur part… 

Deux articles sont parus à mon égard, le premier est sorti le 27 juin 2023 et il s’intitule « Leur rêve de maison écoénergétique vire au cauchemar » et le deuxième porte le titre de « CV magnifié de Daniele Oppizzi » et il est paru le 28 juin 2023, soit un jour après le premier article.

Dans les faits, il faut comprendre que le l’article « Le CV magnifié de Daniele Oppizzi », même s’il est sorti un jour après le premier article, il est prioritaire sur l’article du jour précédant, car qui il introduit prioritairement un projet nommé "GeoLagon".

Le projet de GeoLagon est un projet pour lequel j’ai eu la chance de participer dans son début. Il s’agit d’un projet récréotouristique écologique qui met en pratique les principes de l’économie circulaire et l’écologie sur un seul et unique site. Voici donc maintenant plus de deux ans de cela, que j’ai validé certaines hypothèses du promoteur de GeoLagon, notamment en matière d’énergies renouvelables produites et gérées sur le site. A ce jour, les hypothèses ont été validées par des bureaux d’ingénieurs reconnus. Il ne fait pas l’ombre d’un doute, que le projet que j’avais étudié préalablement était viable et que c’était un beau projet écologique pour le Québec.

GéoLagon devait se réaliser dans 3 ou 4 sites au Québec dont un en Charlevoix, région dans laquelle, une opposition citoyenne a été soulevée et qui a fait couler beaucoup d’encre auprès des médias qui ont malmené à tort le projet. Il est important de noter que je n’étais mandaté par le promoteur que pour mon étude préliminaire et qu'il n'y a jamais eu de relation avec les critiques médiatiques qui soulevaient principalement le problème de l’acceptabilité sociale d’un tel projet.

Dans les articles de La Presse qui me concernent et notamment dans l’article sur mon CV, le sujet de GéoLagon prend toujours la première place, il donc est aisé de soupçonner que le but de l’article n’était pas tant mon CV, mais certainement une critique du projet de GéoLagon en passant indirectement par mon travail d’expertise. Ici, le gros poisson de GéoLagon a été touché par l’intermédiaire du petit poisson - moi - qui s’est pris dans les mailles du filet médiatique !

Puis dans le reste de l’article, les détails sur ma vie privée, mes compagnies, mes études, mes titres et tout autre propos que j’aurais tenus, ne sont là que pour combler le besoin journalistique. La valeur des arguments est faible et sans preuves. Sans entrer dans les détails, j’ai tenu à mettre les preuves contraires sur cette page, afin de démontrer que même si dans la vie on peut commettre des erreurs, la vérité est la seule raison qui permet de garder la tête haute face à l’adversité.

  • Le CV de Daniele Oppizzi : mon CV est visible sur ce lien. Vous trouverez tous les certificats, diplômes et attestations qui prouvent mes compétences et mes formations. Vous trouverez également les attestations de mes anciens employeurs.

  • Mes titres sont également lisibles sur les attestations des mes anciens employeurs. Le titre de Direction nationale des parcs d’importance nationale y figure. Mais encore une fois, le titre exact est bien peu important dans le contexte de l’article. Le but était uniquement de mettre en doute mon étude préliminaire en tant qu’ancien expert en matière d’énergie et de projet régional durable.

  • En ce qui concerne l’éventuelle usurpation des titres d’architecte et d’ingénieur. Deux choses peuvent être soulignées. La première est que à la suite de l’article de La Presse, deux enquêtes de l’Ordre des Architectes du Québec et de l’Ordre des Ingénieurs du Québec, n’ont pu apporter aucune preuve d’usurpation. De plus, je suis bel et bien inscrit à l’Ordre des technologues en architecture et de l’Ordre des modélisateurs en énergie du Québec. Vous trouverez les preuves sous ce lien. Finalement, mais pas des moindres importances, n’étant pas Québécois de formation, je ne peux donc pas me présenter comme architecte ou ingénieur au Québec, mais j’ai le droit et même le devoir de présenter mon CV tel que je l’ai vécu, tout en mentionnant la caractéristique québécoise des titres réservés aux étudiants ayants pratiqués les écoles locales.

  • En ce qui concerne les références aux brevets, il est simple d’aller sur le plus grand répertoire au monde des brevets qui est « Google patents » et d’y taper « Daniele Oppizzi », il y a suffisamment de brevets à mon nom, déposés depuis plus de 25 ans…

 

En ce qui concerne l’article « Leur rêve de maison écoénergétique vire au cauchemar », il a servi à introduire l’article du lendemain sur GeoLagon et mon CV, car cet article sur les problèmes de construction souligne clairement en fin d’article que : « Quant à Daniele Oppizzi, on n’a sans doute pas fini d’entendre parler de lui, puisqu’il agit comme expert en énergie solaire pour les projets de GéoLAGON, ces villages autosuffisants qui pourraient être construits dans quatre régions du Québec »

Il n’est pas possible pour moi de mettre sur cette page les détails des contrats entre ILAND et les clients qui apparaissent dans l’article, ainsi que les contre-inspections des travaux dans leur maison, mais je pense que personne n’est suffisamment naïf pour croire, sauf s’il s’agit de démontrer unilatéralement les défauts d’un entrepreneur, qu’un contracteur veut volontairement nuire à ses clients !

Alors que la majeure partie des rapports des inspections vise la partie non construite par ILAND et que certains défauts de construction soulignés par les inspecteurs montrent même des défauts que les clients ont eux-mêmes générés, on peut comprendre que dans ce type de construction, que les clients ont pris des risques lorsqu’ils sont intervenus sur les éléments construits par des tiers, car ils s’exposaient à des erreurs de construction et surtout ils s’exposaient à des retenues garanties qu’ils ne pouvaient plus exiger.

Dans notre cas, les clients ont effectivement effectué des travaux par eux-mêmes ou ont été conseillés par des amis ou encore des contracteurs extérieurs. L’ensemble de ces conseils ont amené à des modifications de l’enveloppe du bâtiment à plusieurs endroit, causant ainsi des effets graves sur l’étanchéité de la construction et parfois même ils ont agi sur la structure du bâtiment, ce qui est plus délicat… Tous ces éléments ont été bien documentés dans des documents envoyés à la journaliste de La Presse, mais elle n’a jamais songé les prendre en considération dans son article…

Pour faire monter la sauce, la journaliste signale par contre, que je suis responsable d’une série de faillites au Canada et en Suisse. La réponse est simple et elle est liée à la somme des malheurs que j’ai essuyé ces deux dernières années et qui ont fait que mon cas à certainement été un parfait cas d’école pour le journal La Presse, qui avait certainement besoin d’un petit poisson pour étayer une attaque au gros poisson...

Les informations sur les faillites dont parle la journaliste ne devraient pas figurer dans un journal sérieux, En effet, vu la situation l’éthique journalistique devrait primer sur le sensationnel, mais ici encore, on s’est permis de ne pas la respecter. En effet, la journaliste fait référence à un syndic qui critique mon attitude lors des Assemblées des créanciers alors que je demandais simplement au syndic les bilans des actifs de ma compagnie qu’il n’avait pas encore livré. Aujourd’hui encore, une année après la déclaration de la faillite, je ne peux pas obtenir ces bilans. Pire encore, Revenu Québec et Revenu Canada ne sont pas en possession de ces informations, le syndic retenant ces informations légales et majeures, alors même que moi-même, je souhaite exposer les arguments certainement frauduleux dont j’ai été victime lors de la reprise de mon entreprise par des nouveaux actionnaires qui ont relancé les opérations de ILAND sous le nom de Maisons Solaires (9259-9547 QUÉBEC INC.). Pour information, ces nouveaux actionnaires ont saisi les actifs de ILAND et les ont vendus à un tiers, sans mon autorisation et sans l’autorisation du juge alors que ma compagnie faisait l’objet d’une proposition déposée auprès des instances officielles en matière de protection des créanciers.

Dans le cas d’une procédure en cours, il n’est pas très éthique de la part d’une journaliste de parler d’affaires non conclues et de me montrer unilatéralement du doigt.  Alors, on peut se demander à qui profite cet article ? Une faillite, d’un petit entrepreneur n’est guère un sujet de première page. Le CV d’un émigré n’est pas non plus un sujet d’importance nationale. Il est donc facilement déductible que le but de ces deux articles sur ma personne est clairement résumé dans la fin du premier article du 27 juin 2023, soit :

 « Quant à Daniele Oppizzi, on n’a sans doute pas fini d’entendre parler de lui, puisqu’il agit comme expert en énergie solaire pourles projets de GéoLAGON, ces villages autosuffisants qui pourraient être construits dans quatre régions du Québec »

Ainsi que dans le début de l’article du jours suivant :

Daniele Oppizzi, l’entrepreneur derrière le projet en faillite des maisons écologiques Iland, qui se présente aussi comme un expert en énergie solaire et a été embauché comme consultant par le controversé projet GéoLAGON, mise sur un curriculum vitae qui suscite de nombreuses interrogations.

Son usine de Val-David à peine fermée, en juillet 2022, Daniele Oppizzi s’est présenté à Radio-Canada1  comme le « partenaire d’affaires » de Louis Massicotte, promoteur du GéoLAGON, dans Charlevoix et d’autres régions du Québec. L’homme originaire de la Suisse avait évalué la capacité du site à produire suffisamment d’énergie renouvelable pour chauffer les chalets et le lagon à 38 °C. À son avis, il était possible d’y arriver en combinant quatre technologies.

Dix mois plus tard, au printemps 2023, Louis Massicotte a diffusé un communiqué de presse dont l’objectif était de réfuter le rapport très critique de la Réserve de la Biosphère de Charlevoix (RBC) concernant son projet. Ses auteurs jugent que le GéoLAGON ne respecte pas les principes de développement durable, contrairement à ce qu’affirme son promoteur.

Mécontent d’être associé aux déboires d’Iland, Louis Massicotte a tenu à préciser mardi qu’Oppizzi est « un des nombreux consultants externes » qu’il a embauchés et que le cabinet-conseil d’ingénieurs Akonovia a aussi publié une étude énergétique sur son projet en septembre 2022. Mais son récent communiqué visant à contredire la RBC ne citait que Daniele Oppizzi, présenté comme « expert en énergie solaire, architecte et ingénieur en environnement, ancien directeur national des parcs d’importance nationale et des Réserves de la Biosphère de la Suisse ».

A chacun sur cette page de se faire son idée du but recherché par La Presse qui a saisi les malheurs d’un petit entrepreneur comme base pour critiquer un projet – GéoLagon – dont je considère toujours comme étant un projet d’envergure qui mérite, si celui-ci se réalise un jour, d’être visionnaire et exemplaire en matière d’écologie et de durabilité. Et à chacun, sur la base des éléments de preuves apportés, de se faire son idée de manière objective sur ces articles et les méthodes du journal La Presse…

A propos de Daniele Renato

Dan Renato ou Daniele Renato Oppizzi de mère italienne et de père suisse, vit au Canada, dans la région des Laurentides. Après des études d’architecture, d’ingénierie de l’environnement et un MBA, il devient Directeur adjoint de la formation continue en sciences de l’environnement à l’Université de Neuchâtel (Suisse). En parallèle il fonde plusieurs compagnies dans le domaine de l’énergie et la construction solaires.

“L’architecture solaire sauvera la planète” est un essai biographique de l’auteur.

Depuis toujours attiré par le soleil, convaincu que demain sera solaire, Dan raconte au travers d'un dialogue avec ses étudiants de l'université, comment il est parvenu à proposer une vision durable du développement de la Planète.

Contrairement à la coutume où la connaissance prime dans le milieu scientifique, l'auteur propose une démarche d'apprentissage à ses étudiants. Car pour la première fois de l'Histoire de l’humanité, l’accès au savoir par la connaissance a pris le dessus sur l’apprentissage par l’expérience. « Les mains dans la terre » sont devenues « des têtes dans les nuages »

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​FORMATION (Voir CV complet ici...)

LISTE DES ATTESTATIONS ET DIPLOMES

  • Maitrise en administration publique et sciences politiques MPA de Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP – Lausanne, Suisse).

  • Maitrise en génie géologique de l’Université de Neuchâtel (Suisse). Ing. Classe A.

  • Maitrise en sciences biologiques et de l’environnement de l’Université de Neuchâtel (Suisse).

  • Diplôme fédéral d'architecture à la Haute Ecole artisanale et industrielle de Fribourg (Suisse).. Ordre des technologue au Québec.

  • Certificat d’études primaires et secondaires de l’Ecole secondaire de Marly (Fribourg – Suisse).

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